Q1. Lequel de ces principes n’est pas un pilier du développement durable ? (Plusieurs choix possibles).
– La préservation de l’environnement ;
– L’équité sociale ;
– L’attractivité métier ;
– Le développement économique.
Explication : La préservation de l’environnement, l’équité sociale et le développement économique sont les trois piliers du développement durable.
Q2. Que doit repenser l’entreprise pour réussir sa stratégie RSE ? (Plusieurs choix possibles).
– Sa stratégie ;
– Sa politique tarifaire ;
– Son organisation ;
– Ses pratiques.
Explication : Pour réussir sa stratégie RSE, il est indispensable à l’entreprise de revoir sa stratégie, son organisation et ses pratiques. Le dialogue avec ses parties prenantes (consommateurs, clients, fournisseurs, salariés, etc.) sera indispensable pour aboutir à de véritables résultats.
Q3. Quels sont parmi les facteurs cités, ceux qui sont à prendre en compte lors de la fabrication d’un produit alimentaire ? (Liste non exhaustive).
– L’éco-conception ;
– La prise en compte des attentes des parties prenantes ;
– L’ergonomie des postes de travail ;
– Des ingrédients peu onéreux.
Explication : Intégrer les aspects environnementaux dès la conception et le développement de produits pour réduire ses impacts environnementaux, être à l’écoute des besoins et attentes des parties prenantes (sécurité sanitaire, qualité organoleptique, design des produits, emballages…), installer un environnement ergonomique propice au confort de travail constituent des éléments fondamentaux pour installer une production pérenne dans le temps.
Q4. Les coopératives et entreprises agroalimentaires engagées dans une démarche RSE favorisent des achats de matières premières et d’ingrédients locaux.
– Vrai ;
– Faux.
Explication : C’est vrai. Pour produire, ces entreprises et coopératives agroalimentaires favorisent les achats de matières premières et d’ingrédients locaux mais pas seulement ! Elles entretiennent également des relations pérennes en engageant les producteurs adhérents ou partenaires dans des pratiques agricoles durables : l’irrigation raisonnée, l’énergie, la biodiversité et les moyens de lutte naturels.
Q5. En intégrant une démarche RSE, les entreprises et coopératives agroalimentaires favorisent les achats de produits locaux issus de pratiques agricoles durables. Parmi ces pratiques, on peut citer…
– Les moyens de lutte naturels contre les nuisibles ;
– Le maintien de la biodiversité ;
– La préservation de sols nus entre 2 cultures ;
– L’irrigation raisonnée ;
– La fertilisation organique.
Explication : La préservation des sols nus entre 2 cultures est la seule pratique à ne pas être durable. En effet, cette dernière engendre des problématiques comme l’érosion et la prolifération d’espèces végétales non désirées. Les autres pratiques agricoles citées contribuent activement à la préservation de la faune et de la flore locales.